• Arbres et arbustes

     

    ARBUSTES PERSISTANTS

    Plantez les buis, les choysias, les lonicera nitida, les mahonias, les élaeagnus et les conifères.

     

    ENTRETIEN

    Etalez un mélange de tourbe, de terreau de fumier bien décomposé, enrichi de sulfate d’ammoniaque et de sulfate de magnésie au pied des plantes de terre de bruyère.

     

    FUMURE

    Finissez de bêcher vos massifs d’arbustes et apportez de l’engrais.

     

    GREFFE

    Pour obtenir la variété désirée sur un rejet ou un jeune plant issu de semis ou de bouture, greffez bouleau blanc, camélia, genêt, chêne, charme, glycine, sureau, houx,…

     

    HORTENSIA

    Nettoyez les touffes en conservant les boutons terminaux (les fleurs à venir) et taillez les branches anciennes.

     

    MIMOSA

    En fin de floraison, rabattez les rameaux des 2/3 et mettez la plante au repos en arrosant uniquement pour maintenir la motte humide.

     

    PLANTATION

    Terminez la plantation des arbustes à racines nues.

    Mettez en terre les arbustes, conifères et arbres persistants, les grimpants et les caducs en conteneur.

     

    PLANTES DE TERRE DE BRUYERE

    Plantez en sol acide des camélias, azalées, rhododendrons, magnolias, piéris, kalmias, vendus en conteneur.

     

    ROSIERS

    Taillez les remontants (buissons, arbustes, tiges et grimpants).

    Achevez la plantation des rosiers à racines nues ou vendus en pochette plastique.

     

    SEMIS

    Semez les graines d’arbres stratifiées depuis l’automne, en terrine ou godet.

     

    TAILLE

    Taillez les arbustes à floraison estivale (althaea, buddleia, rosier buisson remontant, fuchsia rustique, hortensia, hibiscus, spirée…)

    Coupez les pousses de la saison passée à quelques yeux de leur point de naissance sur le vieux bois.

     


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  • Arbres et arbustes

     

     

    BOUTURES

    Enfoncez en terre des tronçons de rameaux de peuplier, saule, noisetier pour les faire raciner.

    Faite des boutures de buis, de lavande et d’œillet mignardise.

     

    ELAGAGE

    Eliminez les branches des arbres, porteuses de chancre, mortes ou mal placées.

     

    ENTRETIEN

    Les cendres de bois issues de la cheminée sont riches en potasse, phosphore, carbonates. Epandez quelques pelletées au pied des arbustes à fleurs ou fruits décoratifs et griffez. Ne les utilisez pas pour des plantes de terre acide.

     

    HAIES

    Plantez de jeunes arbustes, sur paillis ou sur bâche plastique pour limiter les mauvaises herbes. Préférez un choix d’espèces variées, afin d’attirer plus d’auxiliaires au jardin.

     

    INSECTES

    Effectuez les traitements d’hiver aux huiles pour détruire œufs et larves.

     

    PLANTATION

    Terminez celle des arbres et arbustes à racines nues. Avant la mise en terre, rafraîchissez les extrémités des racines au sécateur et raccourcissez les branches des arbustes d’un tiers.

     

    ROSIER

    Commencez les tailles de fin d’hiver des rosiers à massifs et des rosiers grimpants à floraison remontante.

     

    SURFACER

    Surfacez avec de la terre de bruyère ou du terreau de feuilles les hortensias, rhododendrons et azalées pour renouveler la terre.

     

    TAILLE

    Terminez les élagages.

    Commencez à raccourcir et éclaircir les arbustes à floraison estivale ou automnale : tamaris, clématites d’été, buddleias, althaeas. Ces arbustes supportent une taille sévère.

     

    TRAITEMENTS

    Si vos arbres et arbustes ont souffert l’an passé, effectuez des traitements préventifs contre les insectes (aux huiles blanches) ou contre les maladies (bouillie bordelaise)

     

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  • Bruits de voisinage : comment éviter une action en justice ?

     

         Pour que vous et vos voisins profitiez pleinement de votre petit coin de jardin, il faudrait que tout le monde respecte les périodes de repos. Selon la législation, le repos nocturne débute à 22 heures. Au-delà de cette heure, si des voisins se sentent gênés par une fête que vous organisez dans votre jardin, vous êtes tenus de poursuivre celle-ci à l’intérieur, en respectant le volume sonore autorisé.

     

    Le règlement à l’amiable précédant la plainte :

         Avant de porter plainte pour troubles de voisinage, essayez, dans un premier temps, de régler le problème à l’amiable, d’abord de vive voix, puis, si nécessaire par écrit par une mise en demeure de cesser le trouble. Si vos efforts restent infructueux, vous pouvez recourir à la conciliation, notamment par l’intermédiaire d’une association dont vous trouverez les coordonnées auprès de votre mairie. Vous pouvez également avertir les forces de police et leur demander d’intervenir pour constater l’infraction, mais il faut savoir que l’intervention de la police est souvent difficile à obtenir. L’intervention du maire peut également être sollicitée, lequel a pouvoir de réprimer les atteintes à la tranquillité publique.

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    Notre voisin s’est plaint du bruit que font les enfants en jouant dans notre quartier. Quelle réponse apporter ?

     

         S’agissant du bruit des enfants, les tribunaux exigent généralement une tolérance accrue. Le bruit doit être toléré dans la mesure où il ne dépasse pas le niveau de nuisance habituel et où il respecte les périodes de repos usuelles. Cela découle de l’intérêt de la communauté à promouvoir un environnement favorable aux enfants. Par conséquent, les bruits ordinaires provoqués par les enfants courant et jouant à l’intérieur et à l’extérieur de l’apparentement doivent être acceptés.


    Ce qui n’est plus autorisé ?

         Ne doivent pas être tolérés : la pratique du tennis par les enfants à l’intérieur ou les déplacements bruyants durant la nuit ou le dimanche. L’utilisation d’une aire de jeu par des jeunes ou des adultes en soirée n’est pas en principe inadmissible.

     


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  •  

    Voici quelques petits gestes simples pour réduire la pollution au jardin et ainsi préserver l'environnement :

     

     

     

    Faire son compost

     

    Presque tout est bon > La plupart des déchets organiques peuvent être compostés. <o:p></o:p>

    Un processus naturel > Le compost est un mélange de résidus organiques et minéraux fermentés, utilisé pour fertiliser la terre du jardin potager, du jardin d’agrément ou des plantes en pot. Il peut être réalisé au fond du jardin, en tas ou en composteur, voire sur votre balcon dans un composteur à lombrics labellisé “NF-Environnement.” <o:p></o:p>

    Les déchets qui font mon compost > <o:p></o:p>

    -          Les déchets de la maison en général : essuie-tout, cendres de bois, sciure, copeaux, plantes d’intérieur...<o:p></o:p>

    -          Les déchets de cuisine : épluchures hors agrumes, coquilles d’œufs, marc de café, filtres en papier, laitages, croûtes de fromage, fanes de légumes, fruits et légumes abîmés, os, arêtes...<o:p></o:p>

    -          Les déchets de jardin : tontes de gazon, feuilles, fleurs fanées, mauvaises herbes... <o:p></o:p>

    Environ 1/3 des déchets qui finissent dans la poubelle d’un Français peut être composté.<o:p></o:p>

     


    Préserver l’eau

     

         Pour arroser un jardin en été, la tombée du jour est le moment idéal, car plates-bandes et potagers auront toute la nuit pour se désaltérer. En binant la terre avant, l’arrosage sera encore plus efficace. De même, le pied des plants peut être paillé pour limiter l’évaporation. <o:p></o:p>

         L’eau de pluie est un bienfait que l’on peut récupérer à partir des gouttières dans des bacs ou, mieux, des citernes (il en existe de toutes tailles). Cette eau servira à l’arrosage des plantes, du jardin, ou aux lavages divers. Par ailleurs, un gazon que l’on laisse pousser un peu plus haut devient plus résistant à la sécheresse et économise l’eau d’arrosage. <o:p></o:p>

         Sous la chaleur du soleil, 60 % de l’eau s’évapore avant même d’avoir été absorbée par les plantes.<o:p></o:p>

     


    Favoriser la biodiversité

     

    Un espace vital > Les jardins, les terrasses et les balcons représentent un habitat pour les espèces qui y vivent : c’est important, notamment en milieu urbanisé. Pour que les animaux s’y sentent bien, voici quelques exemples d’espaces à créer :
    • Planter des arbres et des haies aux essences variées et aux floraisons étagées.
    • Aménager une mare.
    • Laisser un endroit en friche propice au développement d’une flore locale diversifiée (les oiseaux, abeilles et papillons apprécieront).
    • Mettre en place des nichoirs, des mangeoires, une boule de graisse mélangée à des graines en hiver, un abri à hérisson... <o:p></o:p>

         Les végétaux, en période de croissance, absorbent du CO2 et participent ainsi à la lutte contre l’effet de serre.<o:p></o:p>

     


    Refuser les traitements chimiques

     

         La France compte 13 millions de jardiniers amateurs dont la moitié se sert de produits phytosanitaires (désherbants, pesticides) et presque tous d’engrais. Leur consommation annuelle de produits phytosanitaires s’élève à 8 000 tonnes, soit 7% du tonnage annuel utilisé en France par le monde agricole. Ces traitements chimiques polluent durablement les cours d’eau et les nappes phréatiques. <o:p></o:p>

    Préserver l’alimentation > À usage égal, les produits biologiques sont vivement recommandés, car ils sont moins nocifs pour l’environnement et la santé. À cet égard, les traitements “totaux”, qui associent insecticides et fongicides, ne répondent à aucun diagnostic précis, tuent tout sur leur passage et favorisent la résistance de nombreux nuisibles. <o:p></o:p>

    Favoriser les engrais d’origine végétale ou animale > Ce sont des produits d’origine végétale ou animale qui enrichissent la terre, nourrissent les plantes, sans empoisonner les sols, les insectes et les oiseaux. Ils sont aussi variés que le fumier, la corne broyée, le guano, les cendres de bois, la poudre d’os... Attention tout de même à respecter les dosages. <o:p></o:p>

    Stocker à l’écart > Avant tout usage, il faut bien lire le mode d’emploi et respecter scrupuleusement les précautions à prendre. Les produits de traitement se rangent dans des contenants étanches, hors de portée des enfants ou des animaux et dans des lieux ventilés.<o:p></o:p>

    Les jardiniers amateurs seraient responsables pour 1/4 de la pollution des eaux de surface et des nappes souterraines. Un Français absorbe chaque année en moyenne 1,5 kg de pesticides dans son alimentation.<o:p></o:p>

     


    Prévenir les mauvaises herbes

     

          Arracher régulièrement les mauvaises herbes, c’est éviter qu’elles ne grainent. Pour lutter naturellement contre ces indésirables, il faut pailler les plants avec des feuilles, des herbes ou des écorces de pin ou bien biner régulièrement le terrain. <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Eloigner les parasites

     

          Les insectes parasites peuvent être éliminés d’un jardin par des moyens naturels :
    • En les enlevant à la main (cocons et œufs de chenille, pucerons...).
    • En posant un filet anti-insectes sur les fruits et légumes.
    • En mettant à contribution les auxiliaires naturels : les coccinelles (disponibles chez un jardinier ou un grainetier, leurs larves sont très friandes de pucerons...).
    • En adoptant certaines plantes qui éloignent les pucerons : œillets d’Inde, menthe, thym, sarriette... <o:p></o:p>

    Une coccinelle dévore jusqu’à 100 pucerons par jour.


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