• Doit-on nettoyer et saler les trottoirs autour de la maison après des chutes de neige ?<o:p></o:p>

     

         Tous les ans, c’est la même question qui revient au début de l’hiver : qui est responsable du nettoyage des trottoirs ? Dans l’ordre, ce sont la commune, le propriétaire de la maison et le locataire. Dans un premier temps, il incombe aux communes de déneiger les routes et les chemins. Mais en général, elles se simplifient les choses et votent un règlement qui oblige les riverains à effectuer le déblaiement. En principe, c’est donc le propriétaire qui est chargé d’enlever la neige. Celui-ci peut demander au locataire ou au gérant de s’acquitter de la tâche. Mais dans le cas, il est obligé de vérifier si le déneigement est effectivement assuré. Le locataire ou occupant est obligé de déneiger si cela est spécifié dans son contrat de location ou dans la réglementation locale.

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    Quand faut-il déneiger ?<o:p></o:p>

     

         L’obligation de déneiger et de saler s’applique généralement à une période comprise entre 7 heures du matin et 20 heures, sauf si le trottoir est très fréquenté. En cas de doute, il est préférable de ses renseigner auprès de la mairie. La fréquence du déneigement et du salage dépend des conditions météorologiques. Par mauvais temps, plusieurs fois par jour, en cas de pluie verglacée toutes les heures.

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    Quels sont les endroits à déneiger ?<o:p></o:p>

     

        En cas de neige ou de verglas, il faut que tous les chemins, places de stationnement et accès à la maison faisant partie de la propriété puissent être utilisées sans danger. Cela s’applique également aux voies publiques. Dans le cas des trottoirs, il n’est pas nécessaire de déneiger toute la superficie : une simple bande permettant à deux piétons de se croiser suffit. Il en va tout autrement dans le centre des grandes villes : en raison de la fréquentation, l’ensemble du trottoir doit être régulièrement déblayé et salé. Pour plus d’informations sur les obligations de déblayage et de salage, on peut consulter les règlements des mairies.


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  • Légumes<o:p></o:p>

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    AIL<o:p></o:p>

    Griffez la planche pour aérer la terre durcie par les intempéries. Profitez-en pour inspecter l’ail d’automne et enfoncez les caïeux déchaussés par le gel.<o:p></o:p>

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    ASPERGE<o:p></o:p>

    Préparer des tranchées en vue des plantations du mois prochains<o:p></o:p>

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    GRAINES<o:p></o:p>

    Faites un dernier tri de vos graines et parcourez les catalogues pour vous approvisionner en nouveautés.<o:p></o:p>

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    OIGNONS, ECHALOTES, AIL<o:p></o:p>

    Repiquez encore quelques bulbes. Semez des graines d’oignons jaunes ou rouges<o:p></o:p>

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    POMME DE TERRE<o:p></o:p>

    Achetez des plants à faire germer, à cette époque, vous aurez davantage de choix et vous les paierez moins cher que des plants prégermés . Installez-les dans une pièce éclairée en attendant de les planter (mars ou avril)<o:p></o:p>

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    PLANTATION<o:p></o:p>

    Repiquez les oignons blancs semées en septembre dernier.<o:p></o:p>

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    POTIRONS<o:p></o:p>

    Vérifiez l’état de ceux stockés au cellier. S’ils commencent à moisir, débitez-les pour les stériliser ou les congeler<o:p></o:p>

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    RADIS<o:p></o:p>

    Echelonnez les semis en choisissant une variété adaptée à la culture sous abri. Mélangez les graines avec de la laitue de printemps.<o:p></o:p>

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    RECOLTES<o:p></o:p>

    Récoltez les dernières endives, poireaux, choux pommés, épinards sous tunnel et chicorées sauvages (italienne)<o:p></o:p>

    Récoltez les premières herbes sauvages : fleurs de tussilage, plantain, mouron blanc, pousses de berce…<o:p></o:p>

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    SEMIS<o:p></o:p>

    La semaine précédent vos semis de tomates, basilic, poivrons… rentrez les godets de terreau dans la maison ou la serre. La terre sera réchauffée et la levée sera plus rapide.<o:p></o:p>

    Commencez, au chaud, ceux de tomates, aubergines, piments et poivrons. En pleine terre, et dès la fin des fortes gelées, semez fèves, pois, épinards, carottes et navets. Sous châssis, semez radis et salades.<o:p></o:p>

    Sous châssis bien exposé, semez des carottes et des radis au jardin et là où l’hiver est doux, commencez à semer les oignons, les fèves et les petits pois repiquez de l’ail, des oignons et des échalotes. <o:p></o:p>


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    Légumes<o:p></o:p>

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    AROMATIQUES<o:p></o:p>

    Repiquez des godets thym, ciboulette, persil, origan… semez persil et fenouil de Florence.<o:p></o:p>

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    ARTICHAUTS<o:p></o:p>

    Nettoyer les touffes en démontant progressivement les buttes et les paillages.<o:p></o:p>

    Apportez-leur du compost au pied<o:p></o:p>

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    ASPERGES<o:p></o:p>

    Nettoyez l’aspergerais et buttez les variétés blanches. Plantez des griffes dans les tranchées faites le mois dernier.<o:p></o:p>

    Donnez-leur du fumier et de l’engrais et commencez à former les buttes.<o:p></o:p>

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    DIVISIONS ET REPIQUAGES<o:p></o:p>

    Divisez les touffes de ciboulettes, d’oseille et d’estragon.<o:p></o:p>

    Repiquez des laitues de printemps<o:p></o:p>

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    LABOUR ET BECHAGE<o:p></o:p>

    Terminez ces opérations si le temps le permet, afin que la terre soit réchauffée avant les premiers semis et repiquages.<o:p></o:p>

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    MESCLUN<o:p></o:p>

    Semez, dès que la terre n’est plus collante, un mélange de cresson alénois, roquette, laitue feuille de chêne et épinard. Pour hâter la récolte, posez un voile non tissé.<o:p></o:p>

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    POMME DE TERRE<o:p></o:p>

    Surveillez celles mises à germer le mois dernier. En climat doux, commencez les premières plantations, ailleurs, attendez le mois d’avril.<o:p></o:p>

    Quinze jour avant la plantation des primeurs, creusez vos sillons afin que le soleil en réchauffe le fond. Cela favorisera leur levée.<o:p></o:p>

    Dégermez les pommes de terre rangées à la cave et réservée à la consommation. La poussée des germes les rend toutes ridées et augmente le taux de solanine, substance toxique qui les fait verdir.<o:p></o:p>

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    RECOLTES<o:p></o:p>

    Croquez les chicorées italiennes, les premiers radis roses. Récoltez les derniers poireaux avant qu’ils ne commencent à durcir.<o:p></o:p>

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    REPIQUAGE<o:p></o:p>

    Mettez sous châssis froid les plants de salade élevés au chaud pour les acclimater. Dans les 15 jours, ils seront suffisamment endurcis pour être plantés sans protection.<o:p></o:p>

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    RHUBARBE<o:p></o:p>

    Débuttez vos pied de rhubarbe, en enlevant le compost que vous avez installé cet automne, afin de récolter rapidement des tiges propres et peu acides.<o:p></o:p>

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    SEMIS<o:p></o:p>

    Associez radis et carottes ou radis et panais. D’un cycle végétatif court, les radis pousseront en premier et faciliteront la levée des carottes. L’espace sera ainsi mieux occupé.<o:p></o:p>

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    Semez en place choux pommés, petits pois, fèves, radis, navets hâtifs, laitues, épinards de printemps, carottes, radis roses, navets, oignons, poireaux, persil et fenouil.<o:p></o:p>

    Semez au chaud tomates, aubergines, piment, basilic, laitues pommées et batavias.<o:p></o:p>

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    THYM ET SARRIETTE VIVACE<o:p></o:p>

    Apportez 2-3 cm de terre à leur pied. Laissez dépasser l’extrémité des tiges. Dès que de nouvelles racines seront formées, vous débutterez et couperez les tiges pour les repiquer en pépinière, dns un sol enrichi de compost mûr.<o:p></o:p>

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  • Pendant la période de Noël, le voisin illumine son jardin avec d’innombrables guirlandes lumineuses ? Puis-je l’attaquer en justice ?


         Un voisin qui se sent gêné par une source lumineuse ne peut porter plainte que si l’effet de la lumière sur le terrain est tout  fait intolérable. Mais ce n’est pratiquement jamais le cas. Certes, tous comme le bruit, la lumière peut représenter une nuisance pour le voisinage, mais en temps normal, l’illumination<o:p></o:p>

         Est à considérer comme un usage local. En outre, il peut être suggéré à la personne concernée d’installer des stores ou des rideaux. Ce n’est que dans des cas extrêmes (par exemple lorsqu’il est porté atteinte à la santé) que des mesures raisonnables peuvent être exigées pour réduire la gêne provoquée par la lumière, telles que des dispositifs d’atténuation ou d’utilisation d’ampoules de puissance moins élevée.


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  • Quelles sont les distances à respecter en matière de plantation ?


         A défaut de règlement, la loi a fixé des distances minimales à respecter, suivant la hauteur des plantations : <o:p></o:p>

    -          Si l’arbre a une hauteur supérieure à 2 mètres, il ne doit pas être planté à moins de 2 mètres de la limite séparant les deux propriétés voisines<o:p></o:p>

    -          Tous les autres arbres ou arbustes dont la hauteur est inférieure ou égale à 2 mètres doivent être plantés à une distance supérieure ou égale à 0,50 mètres de la limite séparative. <o:p></o:p>

         Lorsqu’il existe un règlement local ou un usage constant et reconnu, c’est le droit local qui prévaut sur la loi (Cass Civ. 1, 27 novembre 1963, D. 1964. 102). Les conséquences de cette règles sont les suivantes : Si les distances des plantations n’ont pas été respectées le voisin propriétaire ou usufruitier a le droit d’exiger du propriétaire des plantations qu’il fasse arracher celles situées à moins de 0,50 mètre de la limite séparative et étêter celles qui se trouve au-delà, mais à moins des 2 mètres réglementaires, pour réduire leur taille à la hauteur permise (article 672 alinéa 1 du Code civil)

     


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    Notre voisin a installé une clôture de protection visuelle de deux mètres de hauteur. Est-ce autorisé ?

    <o:p></o:p> 

         S’il n’existe aucune réglementation municipale relative au plan d’aménagement, une protection visuelle est en principe autorisée du moment qu’elle respecte l’usage local. Elle devrait être en harmonie avec la zone résidentielle ou la rue concernée. Un voisin ne peut normalement rien faire contre une clôture lorsque celle-ci s’en tient aux usages. Vérifiez le nombre de clôture installées dans votre secteur d’habitation. L’aménagement des limites de propriété doit cadrer avec la zone résidentielle ou la rue. Même s’il ne se dégage aucune tendance précise dans le quartier en question, un voisin ne peut pas exiger, a priori, la non installation ou la suppression d’une clôture du simple fait qu’il juge inesthétique et qu’elle n’est utilisée nulle part ailleurs dans le quartier. Pour plus de sécurité, il est recommandé de se renseigner au préalable auprès de la mairie.

     

     

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    Nos voisins ont procédé à un rabattage sévère de la haie mitoyenne en limite de propriété sans nous prévenir. Est-ce autorisé ?


         Non. Lorsqu’une haie a été plantée à la limite de deux propriétés, d’un commun accord et au profit de deux propriétaires voisins, par exemple pour servir de brise-vent ou de brise-vue, il s’agit d’une installation mitoyenne. Celle-ci n’a pas le droit d’être supprimée ou modifiée sans l’accord du voisin. Le voisin non consulté peut en principe exiger la restauration, le dédommagement ou le renoncement aux travaux. Attention : un changement de voisin ne modifie en rien les installations mitoyennes. Si vous achetez un terrain, vous êtes tenu de respecter les installations mitoyennes du propriétaire précédent. Même une haie pas droite peut être considérée comme une installation mitoyenne dès lors que quelques arbustes de la haie sont situés de part et d’autre de la limite de propriété. Voir aussi le code civil, art.666 à 670 et art. 1322.

     

     

     

     



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