• Que puis-je faire si le chien du voisin vient creuser dans mes massifs ?

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         Si, un chien qui ne vous appartient pas creuse et abîme votre jardin, son propriétaire doit réparer les dommages occasionnés. En tant que victime d’un préjudice vous pouvez exiger réparation et il vous faudra simplement prouver que les dommages ont été causés par le chien. La responsabilité du maître n’est généralement pas contestée. Sauf dans le cas particulier des animaux dits utiles (par exemples les chiens d’aveugles). Dans ce cas le maître ‘est en principe pas tenu pour responsable s’il a bien surveillé l’animal ou si le dommage aurait pu arriver dans tous les cas.<o:p></o:p>

         Si le chien de votre voisin a pris l’habitude d’endommager votre jardin, n’attendez pas que les choses se reproduisent. Il n’est pas acceptable d’attendre le prochain problème que vous ne détecterez peut-être pas à temps. Mieux vaut prendre les devant et exiger du propriétaire (par voie de justice s’il le faut) qu’il prenne les mesures nécessaires pour que votre propriété ne subisse plus de dommages

     

     

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    Le gros chien de mon voisin aboie sans arrêt au jardin. Est-ce considéré comme une atteinte à la tranquillité ?

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         Les aboiements incessants ne sont pas tolérables en principe, du moins durant les périodes de repos ordinaires (généralement entre 13 et 15h et de 22h à 6h), et ne devraient pas se produire chaque jour plus de 30 à 60 minutes. Si le propriétaire du chien ne réagit pas une réclamation écrite, il peut se voir intenter une action en justice.

         Si les aboiements ne se produisent que de temps à autres, il ne faut pas s’attendre à obtenir grand-chose. Mais les chances sont plus importantes si la nuisance est réelle. Pour porter plainte, il faut décrire les nuisances sonores en notant leurs dates, heures et durées, de préférence attestées par des témoins


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    Pelouse & rocaille<o:p></o:p>

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    Pelouse<o:p></o:p>

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    ANCIENNE PELOUSE<o:p></o:p>

    Scarifiez le gazon envahi par la mousse<o:p></o:p>

    Perforez, sablez, terreautez, apportez un engrais azoté pour qu’il soit bien vert lorsqu’il redémarrera.<o:p></o:p>

    Avant de tondre, laissez les feuillages de bulbes sécher après leur floraison<o:p></o:p>

    Faites la première tonte si nécessaire.  Sur une herbe déjà bien poussée, et souvent humide, faites deux passages. Réglez la tondeuse d’abord haut puis plus bas, sous peine de bourrage.<o:p></o:p>

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    NOUVELLE PELOUSE<o:p></o:p>

    Terminez la préparation du sol pour des semis à effectuer en début de mois prochain.<o:p></o:p>

    Commencez les semis en fin de mois. Choisissez le type de mélange qui vous convient (usage, exposition…)<o:p></o:p>

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    LES CONTOURS<o:p></o:p>

    Découpez le bord du gazon autour des massifs et des arbres : les parterres s’en trouveront redessinés.<o:p></o:p>

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    TAUPES<o:p></o:p>

    Si la pelouse est parsemée de taupinières, pelletez l a terre fine des monticules et épandez-la sur l’ensemble du gazon avant de passer la tondeuse.

     

     

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    Rocaille<o:p></o:p>

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    Plantez vivaces, bisanuelles, arbustes et conifères nains. <o:p></o:p>

    Nettoyez les vivaces : coupez les feuilles et tiges fanées laissées en place<o:p></o:p>

    Aérez les végétaux sensibles au froid en soulevant les protections s’il fait doux.<o:p></o:p>

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  • Pelouse & rocaille<o:p></o:p>

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    Pelouse<o:p></o:p>

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    NOUVELLE PELOUSE<o:p></o:p>

    Préparez l’emplacement pour un semis de printemps : drainez et nivelez le terrain, retirez les pierres, apportez 10 cm de bonne terre en surface.<o:p></o:p>

    Labourez en incorporant si nécessaire de la chaux et du sable et un engrais de fond, émiettez, aplanissez.<o:p></o:p>

    Défoncez le terrain, amendez et laissez faire le gel et la pluie. Vous le travaillerez plus finement fin mars, juste avant de semer.<o:p></o:p>

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    PELOUSE<o:p></o:p>

    En fin de mois, épandez un anti-mousse (sulfate de fer) à la volée en utilisant des gants ou avec un distributeur sur roues pour une répartition plus uniforme. Ratissez ensuite les débris noircis.<o:p></o:p>

    Aérez et scarifiez les pelouses anciennes un peu dégarnies ou envahies de mousses.<o:p></o:p>

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    Rocaille<o:p></o:p>

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    BISANUELLE<o:p></o:p>

    Repiquez des plants de myosotis, pensées, pâquerettes…<o:p></o:p>

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    BOUTURES<o:p></o:p>

    Commencez les boutures de racines des plantes de rocaille dans un terreau sableux.<o:p></o:p>

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    ENTRETIEN<o:p></o:p>

    Commencez à soulever les protections (cloches, rameaux de conifères) s’il fait doux pour aérer les plantes. <o:p></o:p>

    Pour mieux en profiter, dégagez les premiers crocus et iris précoces de rocaille des feuilles mortes.<o:p></o:p>

    Récupérez et coupez les feuilles et rosettes pourries ou noircies, glissez une petite couche de graviers sous les plus fragiles pour les isoler de la terre humide et froide.<o:p></o:p>

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    NEIGE<o:p></o:p>

    Laissez la neige qui recouvre la rocaille : elle isole les plantes du froid. Evitez de piétiner la pelouse enneigée pour ne pas la détériorer.<o:p></o:p>

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    PLANTES ALPINES<o:p></o:p>

    Remettez en place les plantes déchaussées par le gel et la pluie. Tassez légèrement le sol autour d’elles<o:p></o:p>

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  • On ne plante pas n'importe comment sur un balcon, qu'on se le dise. Voici quelques règles élémentaires à respecter si vous ne voulez pas aller au devant de problèmes...<o:p></o:p>

     


         La limite de votre propriété sur un balcon ou une terrasse s'arrête à la rambarde. Mieux vaut donc se renseigner sur les contraintes techniques et légales auprès de votre mairie, de votre copropriété ou de votre syndic avant d'installer des plantes sur votre balcon ou sur votre terrasse.
    Attention : certaines résidences ont leur propre réglementation (plus restrictive), renseignez-vous...<o:p></o:p>

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    En pratique :<o:p></o:p>

    -          Tout ce qui est à l'extérieur de votre balcon ou de votre terrasse n'est pas chez vous. <o:p></o:p>

    -          Tous ce que vous installez (pot, treillage...) doit donc être à l'intérieur de la rambarde. <o:p></o:p>

    -          Dans tous les cas, vous êtes responsable des dommages résultant de la chute d'objets (blessures des personnes, salissures ou dégradations des façades...). Vérifiez que vos pots sont solidement arrimés et étanches (placez-les dans des soucoupes et évitez tout débordement au moment des arrosages). <o:p></o:p>

    -          Vérifiez que les bouches d'évacuation des eaux ne sont pas bouchées. <o:p></o:p>

    -          Taillez vos plantes avant qu'elles n'envahissent votre voisin. <o:p></o:p>

    -          Respectez les règles imposées par votre mairie ou la copropriété. Demandez l'autorisation de tous pour les gros travaux. <o:p></o:p>

    -          Si vous posez des dalles, rehaussez d'autant la hauteur de votre rambarde. <o:p></o:p>

    -          Si vous souhaitez installer de lourdes charges (bac, terre, dalle, chaise, table, éléments décoration), renseignez-vous sur la résistance de votre balcon. Les constructions modernes supportent rarement plus de 350 kg/m2.<o:p></o:p>

    -          Pour toute construction (une serre par exemple), il vous faudra vérifier si un permis de construire doit être ou non demandé.

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    Balcon fleuri

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  • L’arbre de mon voisin a des racines qui soulèvent des dalles sur mon terrain : que puis-je faire ?

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         Vous avez le droit de supprimer les racines des arbres ou buissons voisins qui empiètent sur votre terrain, en les coupant à la limite de séparation entre les deux terrains, à condition toutefois que ces racines nuisent à votre propriété. C’est le cas notamment lorsque les racines absorbent l’humidité nécessaire à vos plantations de légumes ou lorsqu’elles endommages les chemins d’allée ou tuyau d’écoulement. La simple présence des racines dans la terre ne constitue pas en soi un préjudice, même si elles prélèvent dans le sol une grande quantité d’éléments nutritifs et d’eau ! Contrairement à la suppression de branches, il n’est pas nécessaire de mettre le voisin préalablement en demeure ni de lui fixer des délais

     

     

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    J’ai l’impression qu’à la prochaine tempête l’arbre malade de mon voisin va tomber sur mon garage. Puis-je lui demander de couper l’arbre à ses frais ?

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         En tant que propriétaire de terrain et, par conséquent, de l’arbre en question, le voisin est tenu d’assurer la sécurité des usagers de la voie publique. Cela signifie que le propriétaire est considéré comme responsable s’il a omis de couper à temps un arbre menaçant de tomber. Par contre, il ne peut pas être tenu pour responsable de dégâts pour la simple raison d’avoir planté ou fait pousser l’arbre. De même, le simple fait d’être propriétaire d’un arbre tombé ne suffit pas toujours à engager la responsabilité. Tant que les arbres résistent à l’action des éléments naturels, le propriétaire est en principe dégagé de toute responsabilité et n’est pas tenu d’entreprendre quelque chose. IL est par contre recommandé d’inspecter régulièrement ses propres arbres pour repérer la présence de maladies et contrôler leur vieillissement.

     

     

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    Ai-je le droit de couper moi-même les branches avançant sur mon terrain ?

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         En principe, vous avez le droit de couper toute branche avançant sur votre terrain, à la limite séparative entre les deux terrains. En revanche, la chute de feuilles d’un arbre voisin sur votre pelouse n’est pas un motif suffisant. Le préjudice éventuel causé par un arbre planté dans les règles, c’est à dire à au moins 2 mètres de la ligne séparative quand l’arbre dépasse 2 mètres de haut, ne peut pas justifier une action au profit du voisin, si la situation incriminée ne procède d’aucun acte malveillant et n’excède pas les inconvénients normaux du voisinage. Mais la situation est différente lorsque de nombreux fruits tombent sur votre terrain ou lorsqu’une trop grande quantité de feuilles ou de sève collante occasionne des travaux de nettoyage sur votre terrain. Par ailleurs, il faut commencer par fixer un délai raisonnable au voisin pour qu’il élimine les branches gênantes. Vous ne pouvez cependant scier que la partie des branches qui surplombent votre terrain et non jusqu’au tronc de l’arbre.


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