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    LES AMPHIBIENS :<o:p></o:p>

    => Le crapaud commun

    => La grenouille rousse

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    =><o:p></o:p>

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    LES INSECTES :<o:p></o:p>

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    LES MAMMIFERES :<o:p></o:p>

    => Le lérot

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    =><o:p></o:p>

    =><o:p></o:p>

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    LES OISEAUX :<o:p></o:p>

    => Les hérons <o:p></o:p>

    => La mésange à longue queue <o:p></o:p>

    =><o:p></o:p>

    =><o:p></o:p>

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    LES REPTILES<o:p></o:p>

    =><o:p></o:p>

    =><o:p></o:p>

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  • <o:p> </o:p>LA GRENOUILLE ROUSSE<o:p></o:p>

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         Très communes dans toutes l’Europe, les grenouilles rousses arrivent dès la fin de l’hiver (souvent même dès la mi-février) sur les lieux de pontes pour s’y reproduire : une mare, même petite, dans le jardin, un fossé en eau, un ruisseau calme et ensoleillé… garni de végétation aquatique. Par endroit la profondeur doit être faible (10 à 20 cm)<o:p></o:p>

         Elles sont très fidèles à leur lieu de naissance, tout comme le crapaud commun. La femelle pond des œufs qui s’agglutinent en grand nombre (de 1500 à 4000) en formant une masse gélatineuse et flottante caractéristique. Les têtards se nourrissent de débris végétaux et d’algues, amis aussi de petites proies animales. <o:p></o:p>

         Dès les pontes terminées, les adultes repartent vers leur lieu d’habitat et de chasses : prairie humides, abords des fossés, sous-bois. Ils s’aventurent volontiers dans les jardins bordés de haies champêtres où règne une certaines fraîcheur, notamment là où l’herbe n’est pas tondue fréquemment ni trop court. Ils capturent des limaces, des vers de terre, divers insectes, des araignées, des cloportes. Attention aux produits anti limaces qui leur sont fatals.<o:p></o:p>

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    La grenouille rousse (Rana temporaria) est une espèce d’amphibien de la famille des Ranidae qui se rencontre en Europe.<o:p></o:p>

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    Description<o:p></o:p>

        Rana temporaria mesure de 80 à 100 mm. Son corps est trapu, le museau fortement arrondi (à la différence de la grenouille agile qui a le museau plutôt pointu), un œil doré à la pupille horizontale, deux lignes de glandes bien marquées sur le dos. Le mâle possède deux sacs vocaux internes. Les palmures ne dépassent pas la moitié des orteils. En général, le dessus du corps est de couleur jaune-rouge à brun-noir. Le dessous est blanchâtre-gris chez le mâle, et tacheté ou voilé de rouge chez la femelle.<o:p></o:p>

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    Répartition et habitat<o:p></o:p>

         La grenouille rousse peut se rencontrer partout en Europe jusqu’au cap Nord et même en Asie, sauf au sud de l'Espagne, en Italie et dans Balkans.<o:p></o:p>

         Elle affectionne les plans d'eau, les marais, les étangs et les cours d'eau lents, souvent en lisière forestière ou sous les arbres, mais aussi dans les forêts et les prairies humides.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Mode de vie<o:p></o:p>

         Elle se nourrit d’arthropodes comme des petits insectes ou crustacés, des larves d'amphibiens, des vers.<o:p></o:p>

         Durant les quatre mois d'hiver elle hiberne, en s'envasant dans le fond d'un ruisseau ou d'une rivière à proximité et y restera immobile ayant réduit au minimum ses besoins vitaux.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Reproduction<o:p></o:p>

         L'accouplement et la ponte se déroulent sur une période de 15 jours entre février et avril, selon l'avancement de la végétation et l'altitude.<o:p></o:p>

    Chant : sourd, ronronnant, portant peu car émis souvent sous l'eau. <o:p></o:p>

    Ponte : la femelle pond de 1 500 à 4 000 œufs. <o:p></o:p>

    Têtards : naissent au bout de 2 à 3 semaines, en fonction de la température ambiante, et leur développement dure de deux à trois mois jusqu'à leur métamorphose. La maturité sexuelle est atteinte à l'âge de 3 ans. <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Durée de vie<o:p></o:p>

         La grenouille rousse peut vivre de 6 à 10 ans.<o:p></o:p>

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  • La mésange à longue queue

     

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          Avec l’arrivée du froid et de la neige, peut-être observerez-vous dans votre jardin un groupe de mésange à longue queue (aegithalos caudatus) à l’agilité déconcertante.<o:p></o:p>

          Assez différente des autres mésanges, elle est très sociable et hiver et déborde d’activité, se déplaçant en petits groupes, à la recherche de chrysalides et œufs d’insectes. Certaines visitent les mangeoires en hiver…  Leur prédilection pour les boules de graisses en filet suspendus à un arbre. Vous verrez alors plusieurs individus s’y suspendre. Les bûchettes creusées remplies d’un mélange de graisse et suspendues sont également appréciées. Parfois, les mésanges à longue queue visitent les mangeoires-plateaux suspendues, à condition d’y mettre de petites graines et des fragments de tournesol décortiqué ou des noix, noisettes et arachides concassées. <o:p></o:p>

         En résumé, pour attirer cette espèce étonnante à nos mangeoires en hiver, suspendez la nourriture.

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         La Mésange à longue queue (Aegithalos caudatus) est une espèce de passereau de la famille des aegithalidés (et non des paridés comme les autres mésanges). Son nom usuel est le « tupinet ». On la trouve partout en Europe où elle est sédentaire et occupe presque tous les habitats : bois, parcs, jardins, etc.<o:p></o:p>

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    Description<o:p></o:p>

         Cet oiseau mesure 13 à 14 5 cm (dont 8 à 9 pour la queue) pour une envergure de 17 à 18 cm et une masse de 6 à 10 g.<o:p></o:p>

        C'est un minuscule oiseau avec une très longue queue et des petites ailes rondes, à la tête blanche et grise avec une bande noire du front à la nuque passant au-dessus de l'œil et au ventre blanc légèrement rosé.<o:p></o:p>

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    Comportement<o:p></o:p>

         En dehors de la période de nidification, elle vit en bandes familiales ou petits groupes d'une dizaine à une trentaine d'oiseaux, volant d'un arbre à l'autre.<o:p></o:p>

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    Régime alimentaire<o:p></o:p>

         Elle se nourrit essentiellement d'insectes, de quelques graines et de bourgeons à la mauvaise saison. Elle ne dédaigne pas les mangeoires en hiver.

     

    <o:p></o:p>

    Reproduction<o:p></o:p>

         Une à deux couvées par an de 6 à 12 œufs blancs, la première entre mi-avril et mi-mai, la seconde en juin. Contrairement aux paridés (les autres mésanges), elle ne construit pas son nid dans des cavités mais dans un endroit dégagé. Il est de forme ovoïde, d'une hauteur de 20 cm, et est complètement fermé avec un petit orifice latéral dans la partie supérieure. Il est composé à l'extérieur de mousse, de fibres végétales et des morceaux d'écorce ; l'intérieur est garni de plumes et de poils. Sa construction dure entre 15 et 20 jours. Les œufs sont couvés par la femelle 13 ou 14 jours. Les petits restent au nid entre 15 et 20 jours après l'éclosion.<o:p></o:p>

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    <o:p></o:p>LE CRAPAUD COMMUN

     

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         Commun partout en France, c’est de février à mars selon les régions que le crapaud (Bufo bufo) sort de son refuge hivernal situé sous des racines d’arbres, dans la terre meuble ou une galerie de rongeur, parfois une cache dans une cave ou un appentis de jardin, un regard d’eau pluviale il part retrouver le plan d’eau où il est né, et seulement celui-là, situé parfois à plusieurs kilomètres de là, au risque de sa vie… Les couples se forment alors et les femelles pondent de long chapelets d’œufs qui tombent eau fond de l’eau. Les adultes se séparent et rejoignent alors la terre en explorant les terrains alentour à la recherche de leurs proies favorites : fourmis, coléoptères, chenilles et tous les insectes qui abondent localement. Rarement les limaces, trop immobiles pour être repérées. L’été le crapaud s’enfouit sous les feuilles mortes et les touffes des plantes, sous un tas de bois, à la recherche d’humidité et de fraîcheur. Il s’installe volontiers dans les jardins touffus et non traités chimiquement dans lesquels il joue un rôle bienfaisant.

     

    <o:p></o:p>

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    Le crapaud commun (Bufo bufo Linnaeus) est une espèce d’amphibien classé parmi les anoures. C'est l'espèce de crapaud la plus répandue en Europe.<o:p></o:p>

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    Apparence<o:p></o:p>

         Le Crapaud commun est court sur patte et trapu. Sa peau est recouverte de bosses (appelées pustules) ressemblant à des verrues - mais qui n'en sont pas. Il s'agit en réalité de glandes sécrétant pour certaines un mucus lui permettant de ne pas se dessécher et de préserver ainsi l'humidité et l'élasticité de sa peau. D'autres glandes sécrètent un poison servant de défense contre les ennemis potentiels. Ce poison n'est dangereux que pour les carnassiers qui veulent le mordre.<o:p></o:p>

    Taille : 8 à 9 cm pour les mâles, 10 à 12 cm voire plus pour les femelles. <o:p></o:p>

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    Alimentation<o:p></o:p>

    Le crapaud se nourrit principalement d’insectes divers et de petits animaux (limaces, vers de terre, chenille, cloportes, mille-pattes, petits coléoptères etc...) qu'il attrape avec sa langue collante. Le crapaud mastique sa proie en l'écrasant avec le palais; ainsi quand il mange ses yeux se ferment et rentrent dans sa tête.<o:p></o:p>

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    Habitat<o:p></o:p>

         Le crapaud vit à peu près partout en plaine notamment dans les milieux humides. Il vit sur terre et ne rejoint l'eau uniquement pendant la brève période de reproduction. Bon marcheur, on peut le rencontrer très loin des plans d'eau.<o:p></o:p>

    Reproduction<o:p></o:p>

         Au début du printemps dans les pays tempérés, les crapauds se regroupent par dizaines voire par centaines autour d'un étang pour s'accoupler et pondre leur œufs qui deviendront tétards et se transformeront en petits crapauds en quelques semaines : des poumons vont prendre le relais des branchies. Lors de la phase d'accouplement, les mâles cherchent une partenaire pour fertiliser les œufs de celle-ci. Il n'est pas rare de voir plusieurs mâles s'agripper autour de la même femelle. Leur instinct de reproduction les mène à s'accrocher à tout ce qui bouge (grenouilles, poissons, pied agité au bord de l'eau) et à ne lâcher prise parfois que plusieurs jours après.<o:p></o:p>

         Les crapauds ne s'accouplent pas ventre à ventre. Pendant les ardeurs du rut, le mâle, généralement plus petit que la femelle, la harcèle parfois avec maladresse avant de se hisser pour de bon sur son dos.<o:p></o:p>

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    Hivernation<o:p></o:p>

         Suivant les régions, il hiverne d'octobre à mars dans une cavité à l'abri du gel (tunnel d'animal, cave, tas de bois).<o:p></o:p>

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    Particularités<o:p></o:p>

         L'œil cuivré, caractéristique de l'espèce Bufo bufo (crapaud commun), peut voir très bien la nuit grâce à sa pupille horizontale très extensible. Quant à la peau toujours humide garnie de tubérosités venimeuses, elle n'est dangereuse que pour les carnassiers qui veulent mordre les crapauds. <o:p></o:p>

         En présence d'un ennemi naturel tel qu'une couleuvre, le crapaud commun se dresse sur ses pattes et se gonfle pour paraître plus gros et décourager le prédateur. D'autre part, il possède 2 glandes à l'arrière de la tête produisant du poison. <o:p></o:p>

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    Écologie<o:p></o:p>

          Les crapauds communs nous débarrassent des insectes dans nos champs (sans pesticides).<o:p></o:p>

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    Menaces<o:p></o:p>

         Comme la plupart des amphibiens, la destruction et l'assèchement des marais ainsi que les pesticides constituent une menace pour l'espèce. Beaucoup de crapauds communs sont écrasés sur les routes en rejoignant leur zone de reproduction d'où la mise en place de crapauducs.<o:p></o:p>

         C'est juste après la métamorphose et au sortir de l'eau que le Crapaud commun est le plus vulnérable à ses prédateurs, à la déshydratation, aux pesticides et au roadkill (écrasement sur les routes).<o:p></o:p>

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  • Le Lérot

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         Plus petit que le loir, le lérot est un petit rongeur qui inspire toujours une grande sympathie malgré les dégâts commis au jardin et souvent dans l’isolation de la toiture. Son petit masque noir lui donne un air touchant. C’est un animal nocturne qui vous rendra parfois visite le soir, grimpant sur une poutre de votre maison ou le long d’une gouttière. Au jardin, il lui arrive parfois d’occuper le nid d’un écureuil ou es nichoirs des oiseaux. Il y fera naître ses petits au printemps. Ce n’est pas vraiment un ami du jardinier, même s’il mange quelques escargots et d’autres mille-pattes. Ce qu’il aime par-dessus tout, ce sont les graines et les fruits sauvages, mais également les écorces des arbres, qu’il déchire en lanière pour se nourrir.

     

    <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

         Le lérot, lérot commun, loir lérot (Eliomys quercinus) est un rongeur nocturne de la famille des Myoxidae.<o:p></o:p>

         Si certaines populations sont encore localement relativement bien conservées (zones de prés ou bocages souvent), il est en forte régression sur une grande partie de son aire naturelle de répartition, au point même d'être considéré comme menacé de disparition sur la liste rouge des espèces menacées de l’UICN<o:p></o:p>

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    Identification<o:p></o:p>

         Le lérot est un petit mammifère d'une quinzaine de centimètres sans la queue et d'environ 60 à 140 grammes. Le noir autour des yeux (lui donnant un aspect de bandit masqué), le contraste entre le pelage ventral blanc et dorsal gris brun, la longue queue bicolore à extrémité élargie permettent de le reconnaitre aisément. Il fait partie d'un groupe de rongeurs anciens (les myoxidae) et possède à la fois des incisives pour ronger et des dents pointues de carnassier.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Mode de vie<o:p></o:p>

         C'est un animal à la fois terrestre et arboricole aux mœurs nocturnes qui dort le jour dans un nid caché dans un trou d'arbre, un ancien nid d'oiseau (voire un nichoir) ou bâtiment humain et descend au sol pour se nourrir. Comme les autres myoxidae (loirs, muscardins) européens il hiberne et entre en complète léthargie pendant l'hiver (dérangé par erreur il ne se réveille pas pour autant).<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Alimentation<o:p></o:p>

         Son régime alimentaire comprend des fruits (on peut le voir facilement les soirs d'été dans les arbres fruitiers) des baies et des graines diverses mais aussi des insectes voire d'autres petits animaux plus petits que lui. Il n'est d'ailleurs pas rare, notamment lors de la saison des amours, de voir un lérot entreprendre de dévorer l'un de ses rivaux malchanceux. Ce cannibalisme est également observé, de façon récurrente, au sortir de l'hibernation.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Habitat<o:p></o:p>

         Le lérot vit dans les vergers, les jardins et parcs (il est plus fréquent dans l'entourage humain que le muscardin ou le loir). Il fréquente facilement les greniers (où il peut faire du tapage nocturne) et bâtiments abandonnés.<o:p></o:p>

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    Reproduction<o:p></o:p>

         La femelle a une seule portée par an, de 2 à 7 petits. L'accouplement se passe en avril-mai, la gestation dure 3 semaines. La maturité sexuelle est atteinte au bout d'un an. La longévité est de 3 à 4 ans dans la nature. À leur naissance, les petits mesurent 4 cm hors queue, sont roses et aveugles (paupières closes), leurs cris sont aigus (ultrasons) et leur mobilité étonnante.
          Un duvet gris-clair se développe rapidement et leur vigueur s'accroît dans la même mesure. Le premier signe distinctif évident apparaît au niveau du contour des yeux, encore clos, qui s'orne d'une traînée noire caractéristique de l'espèce.<o:p></o:p>

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    Prédateurs<o:p></o:p>

         Le lérot peut être la victime des fouines, des chats et des oiseaux nocturnes (chouettes et hiboux) qui fréquentent le même habitat.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Répartition<o:p></o:p>

         Le lérot se rencontre dans toute l'Europe moyenne, de la côte ouest (absent de Scandinavie, de Grande-Bretagne et des Balkans) jusqu'à l'Oural à l'est. Il est aussi présent en Asie Mineure.

    <o:p></o:p>

     

    Statut et menaces<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>     C'est une espèce en forte régression pour des raisons encore mal comprises.
          Les pesticides et la dégradation générale de ses habitats (bocages, prés, prairies, arbres creux ou morts, granges et greniers pour l’hibernation) semblent pouvoir expliquer une partie de son recul.
          La dégradation de l’environnement nocturne par le phénomène dit de pollution lumineuse est potentiellement en cause, mais l'interaction entre éclairage artificiel et lérot n'a pas fait l'objet d'études particulières.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Caractéristiques particulières<o:p></o:p>

         Le lérot est capable de laisser la fourrure de sa queue, par une sorte d’autonomie un peu comme les lézards, quand il est attaqué par un prédateur.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>


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