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    Fruitiers<o:p></o:p>

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    ENGRAIS<o:p></o:p>

    Apportez à toutes vos jeunes plantations deux ou trois poignées d’engrais complet pour arbres fruitiers. Faites-le pénétrer dans le sol en griffant légèrement la terre au pied des arbres.<o:p></o:p>

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    FRUITIER<o:p></o:p>

    Mangez des dernières pommes conservées au fruitier, éliminez les fruits abîmés.<o:p></o:p>

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    GREFFES<o:p></o:p>

    Commencez les greffes en fente ou en couronne sur pommiers et poiriers.<o:p></o:p>

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    LIENS<o:p></o:p>

    Vérifier les attaches des jeunes arbres plantés l’automne dernier. Desserrez-les pour permettre à la sève de circuler normalement.<o:p></o:p>

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    PECHERS<o:p></o:p>

    Terminez la taille et traitez à la bouillie bordelaise dès que les bourgeons commencent à grossir et à rosir.<o:p></o:p>

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    PLANTATIONS<o:p></o:p>

    Dernières limites pour les racines nues au nord de la Loire et en altitude. Ailleurs, il est préférable d’attendre l’automne prochain. <o:p></o:p>

    On peut encore planter ceux proposés en conteneurs ou en mottes, à condition de prévoir un arrosage suivi pendant toute la belle saison.<o:p></o:p>

     Plantez aussi arbustes à petits fruits en conteneur, fraisiers, vignes et figuiers.<o:p></o:p>

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    SOINS<o:p></o:p>

    Terminez le nettoyage des troncs et de la terre au pied des arbres. <o:p></o:p>

    Vérifiez les liens des tuteurs et des étiquettes : desserrez-les et remplacez ceux qui sont cassés.<o:p></o:p>

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    TAILLES<o:p></o:p>

    Achevez celles des pommiers, poiriers, vignes et pêchers. Renouvelez le bois des figuiers en cépée. Taillez groseilliers et framboisiers.<o:p></o:p>

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    TRAITEMENT<o:p></o:p>

    Effectuez un traitement à la bouillie bordelaise contre la tavelure sur les pommiers et les poiriers.<o:p></o:p>

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    VIGNE<o:p></o:p>

    Une taille en mars évite un débourrement trop précoce et prévient des gelées tardives. L’abondante coulée de sève est sans danger pour la santé des souches vigoureuses.<o:p></o:p>

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    Fruitiers<o:p></o:p>

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    CLOQUE DU PECHER<o:p></o:p>

    Au moment du gonflement des bourgeons, qui peut varier d’une année à l’autre, traitez avec du purin d’ortie et de la décoction de prêle (3 fois en 10 jours)<o:p></o:p>

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    ENGRAIS<o:p></o:p>

    Commencez à les répandre au pied des jeunes arbres en profitant d’un binage. Pensez à faire ce petit travail au pied des framboisiers et des groseilles<o:p></o:p>

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    ENTRETIEN<o:p></o:p>

    Grattez les troncs et les grosses branches pour éliminer les vieilles écorces et la mousse<o:p></o:p>

    Enlevez les fruits desséchés et encore attachés aux branches.<o:p></o:p>

    Poursuivez les traitements de d’hiver.<o:p></o:p>

    Désherbez le pied des jeunes arbres, profitez en pour leur apporter des engrais complets.<o:p></o:p>

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    FORCAGE<o:p></o:p>

    Forcez les fraisiers et les rhubarbes en posant des cloches ou des châssis

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    FRAMBOISIERS<o:p></o:p>

    Vous pouvez en plantez de nouveaux. Taillez les plants en place et palissez les tiges qui vont fructifier.<o:p></o:p>

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    GREFFES<o:p></o:p>

    Si vous comptez greffer ou faire greffer vos arbres fruitiers, pensez à récolter des greffons dès maintenant.<o:p></o:p>

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    NOYAUX ET PEPINS<o:p></o:p>

    Semez en place ou en pot les pépins et les noyaux de l’été dernier mis à stratifier dans du sable (prunes, pêches...)<o:p></o:p>

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    PETITS FRUITIERS<o:p></o:p>

    Taillez groseilliers et framboisiers.<o:p></o:p>

    Stratifiez dans une terre sablonneuse les rameaux destinés au bouturage. Enterrez-les le long d’un mur exposé au nord en attendant le repiquage au printemps<o:p></o:p>

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    PLANTATIONS<o:p></o:p>

    Continuez à plantez des arbres et arbustes à racines nues ou en conteneur, hors périodes de fortes pluies ou de gel.<o:p></o:p>

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    TAILLES<o:p></o:p>

    Terminez la taille des arbres à noyau.<o:p></o:p>

    Pour les variétés à pépins (pommier, poirier, cognassier) et les actinidias (kiwis), vous pouvez encore intervenir jusqu’au début de la floraison.<o:p></o:p>

    Taillez aussi les arbustes à petits fruits : groseillier, cassissier, myrtillier… et les treilles.

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  • Travaux au jardin<o:p></o:p>

     

    Avril<o:p></o:p>

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    Arbres et arbustes<o:p></o:p>

    Le bassin<o:p></o:p>

    Divers<o:p></o:p>

    Fleurs<o:p></o:p>

    Fruitiers <o:p></o:p>

    Légumes<o:p></o:p>

    Pelouse & rocaille<o:p></o:p>

    Serre & châssis<o:p></o:p>

    Terrasse & balcon<o:p></o:p>

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  • Je tiens à avoir une pelouse soignée, contrairement à mon voisin qui n’entretient pas ses espaces verts. Que puis-je faire ?

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         En principe, un propriétaire est libre d’opter pour un gazon anglais ou un jardin sauvage. Si c’est une simple question d’esthétique, vous n’avez aucune possibilité de recours contre votre voisin. Hormis des cas extrêmes, vous ne pouvez rien faire non plus contre les graines de mauvaises herbes apportées par le vent, vu qu’il s’agit de phénomène naturel. <o:p></o:p>

         Les feuilles, aiguilles, fruits et fleurs sont considérés en revanche comme troubles du voisinages. Ceci dit, les troubles du voisinage liés à l’usage local doivent en principe être tolérés. Dans une zone urbanisée  comptant de nombreux jardins, la chute des feuilles et la présence de pollen ne peuvent pas donner lieu à des dédommagements. C’est également le cas lorsque cela requiert un effort de nettoyage supplémentaire. <o:p></o:p>

         En raison d’une prise de conscience écologiquement, la chute des feuilles en automne ou la présence de pollen au printemps doivent être considérées comme le revers de la médaille d’une meilleure qualité de l’habitat. Car finalement la personne concernée – selon certains tribunaux - profite des espèces végétales présentes sur place. <o:p></o:p>

         Si un terrain est laissé à l’abandon dans une zone résidentielle ponctuée de jardins bien entretenus, cela peux exceptionnellement donner lieu à une demande de suppression, dans le cadre des rapports de bon voisinage.


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  • Doit-on tolérer un tas de compost en limite de propriété ?

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         En principe, chacun à le droit d’installer un tas de compost dans son jardin. Mais il existe des dispositions de loi concernant l’élimination de déchets de cuisine et de jardin. Celles-ci comportent, par exemple, des réglementations sur l’installation d’un tas de compost, selon lesquelles il ne doit pas causer d’odeurs gênantes, ni attirer d’animaux nuisibles.

         En suivant bien les règles (aération adéquate, degré d’humidité convenable, non utilisation de déchets d’animaux,…), il ne devrait pas y avoir de raison pour supprimer le tas de compost. Mais s’il existe de réelles nuisances olfactives, un déplacement ou une suppression peuvent être exigés. Cela dépend s’il existe un réel préjudice. Dans ce cas, ce sont généralement les valeurs limites de la future Directive sur la qualité de l’air (prescription administrative pour la protection contre les nuisances olfactives) qui feraient foi.

         En cas d’odeurs nauséabondes, il faut d’abord chercher à savoir si celle-ci ne sont pas liées au lieu et si elles ne peuvent pas être limitées par le biais de mesures économiquement raisonnables. Si c’est le cas l’odeur du tas de compost doit être tolérée. Les odeurs dues à l’agriculture et aux animaux sont plus courante à la campagne qu’en ville ou dans une zone résidentielle. Par mesures économiquement raisonnables, on entend par exemple un déplacement du tas de compost vers un endroit plus éloigné. C’est pourquoi, au moment de choisir l’emplacement, il est préférable de tenir compte du voisinage. Il vaut mieux éviter d’installer le tas de compost à proximité immédiate de la terrasse du voisin.

     

     

     


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